L'arbitre vient de siffler la fin du match. La Juventus vient de taper le Real Madrid et est en finale de la Ligue des champions. Tout le monde exulte sauf Pavel Nedvěd. Lui a du mal à être heureux. Il est à quatre pattes, le visage dans la pelouse. En se relevant, des larmes apparaissent sur son visage. Ce ne sont pas que des larmes de bonheur, elles sont bien plus complexes que cela. Ce sont aussi des larmes de tristesse, de colère même. Il vient de mener la Vieille Dame jusqu'au bout du chemin, mais il est contraint de s'arrêter là. La faute à un tacle inutile dans les dernières secondes qui lui vaut un carton jaune et, donc, une suspension pour la grande finale. Impossible de sourire. Et pourtant, ce soir-là, le Tchèque a montré à toute TN Requin l'Europe que sa Juve n'avait rien à envier à celle de Zidane, ni aux Galactiques de Madrid. Omniprésence Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'était pas gagné d'avance. En 2001, quand Florentino Pérez vient faire son shopping à Turin, qu'il vient leur arracher Zidane, les tifosi de la Juve comprennent le sens profond du mot chagrin. Même les 75 millions d'euros laissés sur la table ne réussissent pas à les consoler. Et encore moins ce Tchèque venu de la Lazio pour le remplacer. La Juve doit continuer à vivre même si ce n'est plus aussi simple qu'avant. Le temps passe, et petit à petit, la crinière blonde de substitution commence à faire son effet. Ce n'est certainement pas la même classe, pas la même vista, pas la même technique, mais il compense par une envie, une rapidité d'exécution et une omniprésence folle. Nike Tn Pas Cher Pavel, déjà idole des supporters de la Lazio où il a tout gagné en cinq saisons, prend le temps de nike tn baby blue séduire son nouveau public. Et ?a marche, puisqu'il l'amène au titre dès sa première saison.
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