Le président du Nike Tn
Pas Cher Conseil européen s'est livré aux questions du Figaro et de cinq grands quotidiens internationaux. Extraits.
Correspondant à Bruxelles
Entre une rencontre avec Barack Obama et un sommet européen, jeudi, Donald Tusk s'est livré aux questions du Figaro et de cinq grands quotidiens internationaux. Le président du Conseil européen confirme que les sanctions contre la Russie sont là pour durer. Il demande un peu compréhension pour la Grèce. Et s'affiche prudent, mais pas opposé à une éventuelle opération internationale en Libye.
Les sanctions contre la Russie dureront jusqu'en 2016. «Croire en la bonne volonté du président Poutine (...) c'est soit de la naïveté, soit de l'hypocrisie. Pour soutenir Merkel, Tn Nike Hollande et les accords de Minsk, il faut au minimum maintenir les sanctions existantes»
L'offensive diplomatique franco-allemande «permet de contenir l'attitude agressive de Moscou. L'Ukraine l'avait souhaité, parce qu'elle y trouve le temps de se ressaisir «
L'entente avec Washington : si l'UE devait desserrer l'étau des sanctions cet été «la relation transatlantique entrerait dans une phase très critique».
Le risque existe d'un sortie accidentelle de l'euro, l'urgence «est de déjouer un scénario aussi stupide. Perdre la Grèce ouvrirait le chapitre le plus dramatique de l'histoire de l'UE. Nous devons aider ce pays, ce n'est même en discussion.»
Une intervention internationale? «La réflexion commence avec l'UE et tous les acteurs engagés. La Turquie, Nike
Tn l'Égypte, la Tunisie sûrement.
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