Alors que Kiev a annoncé le retrait de ses armes lourdes, Air Max les observateurs de l'OSCE, censés contrôler sur place le respect des accords de Minsk, n'ont toujours pas un accès libre aux zones contestées.
Le sort de l'Ukraine est suspendu à ses belligérants et aux gendarmes de la paix. Ils sont 350 observateurs de l'OSCE déployés sur le territoire, reconnaissables à leurs voitures siglées et blindées, chargés de vérifier l'application du cessez-le-feu. Née au cœur de la guerre froide pour favoriser le dialogue Est-Ouest, et basée à Vienne, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, forte de 57 pays membres, joue sa crédibilité. Jeudi, avec deux jours de retard sur ses ennemis séparatistes, l'armée ukrainienne a annoncé le début du retrait de ses armes lourdes.
Initialement, ce processus devait démarrer le 22 mars, Tn Pas Cher mais son application avait été retardée, faute d'une trêve complète. Depuis mardi, aucune victime n'est à déplorer, les canons sont censés faire marche arrière mais seuls les émissaires de l'OSCE pourront en attester. Réunis à Paris, les ministres des Affaires étrangères français, ukrainien, russe et allemand ont officiellement réclamé «l'extension de leur mandat», la délivrance d'équipements, notamment des drones, ainsi qu'un «financement supplémentaire». 150 nouveaux observateurs devraient arriver d'ici à la mi-mars. Des bonnes intentions qui ne garantissent en rien le succès de leur mission.
«Actuellement, les deux parties ne nous Nike Tn apportent pas toute l'information nécessaire. Alors que nous avons besoin d'une pleine liberté de mouvements, nous nous heurtons de chaque côté à des obstacles», a déploré le porte-parole de la mission ukrainienne, Mikhaïl Bociurkiv, qui réclame des garanties de sécurité pour le personnel de l'OSCE. Jeudi, après avoir essuyé des tirs.
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