Dans un entretien accordé au Nike Tn Courrier de l'Ouest en avril dernier, la jeune femme originaire d'Angers racontait son quotidien au Yémen et évoquait les problèmes de sécurité auxquels elle était confrontée.
Isabelle Prime avait «toujours tendance tendance à minimiser les risques liés à sa mission», d'après le témoignage à France télévision de son employeur Francisco Ayala.
Un entretien que la jeune femme a accordé au Courrier de l'Ouest en avril 2014 laisse pourtant deviner qu'elle avait une conscience claire des dangers auxquels elle pouvait être exposée et ne transigeait pas sur les questions de sécurité. Elle y expliquait les contraintes auxquelles les occidentaux qui, comme elle, avaient décidé de partir pour le Yémen étaient soumis: vivre regroupés, parfois dans la même maison que ses collègues, et accepter la protection de gardes armés. «Le Yémen n'est pas un pays en guerre, disait-elle alors, mais il y a un risque d'attaque constant».
«Il est tentant de rester chez soi»
Elle s'obligeait de plus à limiter ses Nike
Tn Pas Cher déplacements: «On oublie les dîners au restaurant (...) Il faut changer ses habitudes. Au lieu de prendre un verre en ville, vous le prenez chez les gens.» Mais Isabelle Prime ne souhaitait cependant pas se barricader chez elle: «Les conditions de sortie étant compliquées, il est tentant de rester chez soi. Il faut s'obliger à avoir une bonne hygiène de vie. Faire du sport est primordial».
«Le plus grand danger ici est de croire que tout est calme»
La jeune femme semblait sur ses gardes en toutes circonstances: «Le plus grand danger ici est de croire que tout est calme et de commencer à baisser sa vigilance. Par exemple, marcher dans la rue seule. Cheap
Jordan Shoes Avoir des habitudes comme aller au supermarché à la même heure... C'est malheureusement à ce moment-là qu'il.
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