Malgré les dénégations officielles, Nike Requin Washington bruisse de rumeurs sur des négociations avec les talibans, au Qatar, visant à stabiliser l'Afghanistan après le retrait des troupes américaines prévu fin 2016.
New York
Officiellement, les États-Unis n'entretiennent aucun contact avec les talibans afghans, qui combattent avec acharnement les troupes occidentales de la coalition depuis bientôt quatorze ans. Le fossé culturel, idéologique, religieux paraît bien trop grand avec ces insurgés qui ont juré de reconquérir l'«émirat islamique d'Afghanistan» qu'ils tinrent sous leur joug de 1996 à 2001.
En coulisses, c'est une autre histoire. Le «grand jeu» afghan se pratique toujours à la fois les armes à la main, dans les contreforts escarpés de l'Hindu Kuch, et dans les salons luxueux des États du Golfe. Depuis plusieurs semaines, Washington bruisse de rumeurs sur des négociations très discrètes avec les talibans dès ce jeudi à Doha (Qatar), Nike Shox visant à stabiliser l'Afghanistan après le retrait définitif des troupes américaines prévu fin 2016, à la fin du second mandat présidentiel de Barack Obama.
Le département d'État, cependant, nie en bloc l'existence d'un tel canal de discussions: la dernière tentative de rapprochement, orchestrée autour de l'ouverture d'une officine talibane au Qatar en 2013, avait tourné court après la grosse colère du président Hamid Karzaï, outré d'avoir été placé devant le fait accompli.
Mais le contexte a changé: l'impopulaire Karzaï a laissé la place au lucide Ashraf Ghani, bien plus favorable à une entente avec les «étudiants religieux» et attendu en mars à Washington, pour des entretiens avec Obama, avant le début des offensives talibanes de printemps. Tn
Pas Cher En outre, le canal, maintenu entrouvert, aurait permis la libération en mai 2014 du sergent américain Bowe Bergdhal, otage des.
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